Résumé :
Quatrième de couverture : Mais qu'arrive-t-il à Romane, fille de Romain Ryga et d'Anna Lesnoail? D'où lui viennent ses étranges vomissements inexpliqués de lettres de l'alphabet et surtout l'assouvissement de ses nausées matinales uniquement par l'écriture ou la lecture? Cette jeune Parisienne qui mène une vie bien rangée ne comprend absolument pas ce qui lui arrive. De quel mal mystérieux souffre-t-elle? Ni la médecine traditionnelle, ni la parallèle ne pourront l'aider. Seul un éditeur lui révélera un secret jalousement gardé, celui des femmes enlivrées. Cette grossesse insolite inquiète et affole Romane malgré les rassurantes rencontres organisées auprès des grandes figures féminines du paysage littéraire. La jeune femme se confiera à son journal intime et c'est Colette qui le découvrira et partagera ses émotions pendant ces dix mois d'absurdisme. Pourquoi elle? Elles ne se connaissent même pas...
Un matin, une femme découvre sur son perron un étrange paquet qui contient le journal d'une jeune femme : Romane. Cette dernière y relate une étrange expérience, celle des femmes enlivrées. En effet, il apparaît que les chefs d’œuvre ne naissent pas de l'esprit fertile de leurs auteurs mais plutôt... d’utérus de femmes qui les portent à la manière d'enfants pour une durée variable. Le récit de Romane rend compte de la totalité de sa "grossesse" jusqu'à l'accouchement. Exactement comme une grossesse traditionnelle, la grossesse d'un livre se manifeste par différents symptômes : vomissements de lettres, obsession pour un mot ou une expression liée à la littérature ou encore frénésie de la lecture ou de l'écriture. C'est finalement toute une conception de la littérature et de l'acte d'écrire qui se dégage de cette métaphore filée.
Mon avis :
Suite un à défaut de référencement, ma critique sur Enlivrée de Laurence Dionigi sera désormais disponible sur demande via l'adresse de contact du blog ( lenlivree-blog@hotmail.fr ). En m'excusant pour la gène occasionnée, je vous remercie de votre compréhension.
Du même auteur :
Un matin, une femme découvre sur son perron un étrange paquet qui contient le journal d'une jeune femme : Romane. Cette dernière y relate une étrange expérience, celle des femmes enlivrées. En effet, il apparaît que les chefs d’œuvre ne naissent pas de l'esprit fertile de leurs auteurs mais plutôt... d’utérus de femmes qui les portent à la manière d'enfants pour une durée variable. Le récit de Romane rend compte de la totalité de sa "grossesse" jusqu'à l'accouchement. Exactement comme une grossesse traditionnelle, la grossesse d'un livre se manifeste par différents symptômes : vomissements de lettres, obsession pour un mot ou une expression liée à la littérature ou encore frénésie de la lecture ou de l'écriture. C'est finalement toute une conception de la littérature et de l'acte d'écrire qui se dégage de cette métaphore filée.
Mon avis :
Suite un à défaut de référencement, ma critique sur Enlivrée de Laurence Dionigi sera désormais disponible sur demande via l'adresse de contact du blog ( lenlivree-blog@hotmail.fr ). En m'excusant pour la gène occasionnée, je vous remercie de votre compréhension.
Du même auteur :
- Le retour des rhinocéros
- Arrêt à Teotihuacan
- Le train bleu
- Paludes d'André Gide
- La Confession d'un enfant du siècle de Musset
Je vois que nous avons eu la même idée pour nos noms de blogs ! :)
RépondreSupprimerEffectivement, nos avis divergent mais je comprends ton point de vue et ta réflexion sur la place du talent...
Il faut de tout pour faire un monde...
RépondreSupprimerL'idée d'accoucher d'un livre est assez originale je trouve ! Je l'avoue je n'y aurais pas pensé. Bon par contre tout cela m'a l'air un peu glauque et n'oublions pas les auteurs hommes !!!!
RépondreSupprimer"S'il y avait une seule vérité,on ne pourrait faire cent toiles sur le même thème"
RépondreSupprimerPablo Picasso
"S'il y avait une seule vérité,on ne pourrait faire cent toiles sur le même thème"
RépondreSupprimerPablo Picasso
@Anonyme : Oui ^^ D'où l'importance d'accepter l'avis d'autrui. Approbation de la majorité n'est pas gage de qualité.
Bonjour à tous. Je suis allée visiter le Salon du livre de Montréal (Place Bonaventure) il y a peu de temps. C'était génial. J'y ai fait des découvertes sensationnelles.
RépondreSupprimerPour en revenir au web.
J'ai lu quelque part : "Vous êtes une personne suffisamment équilibrée et solide pour vous adapter à l’autre dans le but de le mettre à l’aise, le temps d’une conversation."
En fait, je trouve que cette affirmation correspond aussi à l'écrivain. Ce dernier doit avoir, lui aussi, la faculté de s'adapter à ses lecteurs sans risquer de tomber dans l'hypocrisie littéraire. Il y a tellement de beaux livres à découvrir. Le Temps des Fêtes approche rapidement. J’en profite pour choisir les cadeaux que je vais offrir. Vous avez lu dans mes pensées... cette année j’offre des livres à ma famille et mes amis.
J’ai réfléchi à ceci : offrir des BD aux adultes et de petits romans légers au plus jeunes. Bien entendu, c’est une période de détente et je désire ouvrir l’imaginaire de ceux que j’aime. Qu’en pensez-vous ?
Merci pour votre blog.
Bonjour à tout le monde,
RépondreSupprimerJe rassure Arcaalea: pas mal d'auteurs hommes sont cités. Ils n'accouchent pas d'un livre mais sont atteints du virus de l'écriture.
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Le salon du livre de Montréal était-il intéressant ?