Résumé :
Quatrième de couverture : Rien ne va plus dans la chrétienté. Rebelles à toute autorité, des bandes d'hérétiques sillonnent les royaumes. En arrivant dans le havre de sérénité et de neutralité qu'est l'abbaye située entre Provence et Ligurie, en l'an de grâce et de disgrâce 1327, l'ex-inquisiteur Guillaume de Baskerville, accompagné de son secrétaire, se voit prié par l'abbé de découvrir qui a poussé un des moines à se fracasser les os au pied des vénérables murailles. Crime, stupre, vice, hérésie, tout va alors advenir en l'espace de sept jours.
Le Nom de la rose est d'abord un grand roman policier pour amateur de criminels hors pair qui ne se découvrent qu'à l'ultime rebondissement d'une enquête allant un train d'enfer entre humour et cruauté, malice et séductions érotiques.
XIIème siècle en Italie : les conflits religieux font rage et, alors que des chrétiens s'affrontent sur le terrain de divers débats théologiques, les hérétiques montent en puissance. Dans un tel climat de tension, des rivalités et des luttes intestines font surface. Peut-on aller jusqu'à tuer pour sauvegarder une certaine vision de la foi chrétienne? C'est ce que Guillaume de Baskerville et son jeune apprenti Adso sont sur le point de découvrir. Ils sont conviés dans une abbaye - célèbre pour abriter la plus grande bibliothèque de la chrétienté - qui souffre de l'enchaînement d'une série d'événements funestes. En effet, certains moines commencent même à parler de l’œuvre du Malin. Pourtant, il y aurait fort à parier que c'est au nom du Christ que sont commises de telles atrocités.